Scoop! je ne suis pas morte...

... la preuve c'est que je poste un message. Si si. Même que c'est pour répondre aux comentaires des gens (ouais parce que les potes qui sèment des commentaires dans les billets vieux d'au moins, pfou, deux semaines, je ne les vois pas tout de suite, et ils se retrouvent enfouis, et si je réponds dans le même billet jamais eux ne le liront, enfin braife.)

Marion en Chine : Ca va, oui je suis à la maison et oui même si c'était dur, c'était cool! Je te fais des bisous! Et écris des trucs s'il te plait!

Marion en Malaisie : Haha mes photos te font envie alors que tu es en Malaisie? Je ne sais pas si le Japon est au programme de l'une de tes ballades mais je pense que tu t'y plairais si tu passais! Et pour ce qui est de retrouver des amis... ils sont un peu éparpillés en ce moment... :)

Bertrant ('tain, il est trop dur ton rébbus !!! ): surtout que pour toi c'est le printemps, le contexte n'aide pas!

Isa : merci pour les photos, ca va et je continue à passer chez toi même si je reste muette (le côté tout seul dans la foule, bof bof... tu as trop de visiteurs pour que j'ose mettre des commentaires :) )

Lili : appelle moi qu'on aille se boire un coup et tu auras des nouvelles en directlive :)

Gwen : il parait que je ne reçois pas tes mails????

Susanna : hey it's so cool to hear from you! You know I'm one of the few readers of your blog? (...that is, when you actually write stuff ;) ) Don't worry about not understanding the text on the pictures, it's not that interesting. I envy you so much for seeing Kyoto in the spring - and I guess you had so many friends to go hanami with! I was a little disapointed by the philosopher's path actually, but I had another little walk, from my youth hostel to Gion, along a canal with weeping willows that was extremely beautiful, especially at night.

Les jaloux qui n'ont pas eu de réponse : ...z'avez qu'à laisser des commentaires :) Ou alors écrivez moi, parce que je réponds aux mails. Si si.

Hé ben c'est tout pour ce soir, parce qu'il est déjà - pfou au moins, je retourne dans mon lit en compagnie de Murakami et Kafka (celui sur le rivage, pas celui de la métamorphose).

Ho ça c'est un samedi soir bien employé.